Source: http://classiques.uqac.ca/classiques/darwin_charles_robert/descendance_homme/descendance_homme_tdm.html
Textes et textes sonores
Source: http://contretemps.eu/interventions/mike-davis-capitalisme-grippe-porcine (mai 2009) - Revue "Contretemps". Mike Davis: ethnologue, sociologue, historien étasunien né en 1946. Il est actuellement professeur d'histoire à l'université de Californie à Irvine, membre du comité de rédaction de la New Left Review et collaborateur de la Socialist review, revue du Socialist Workers Party anglais.
Par Mathieu Ricard, paru in "Le temps", 18 décembre 2014.
Le règne animal dans l'Égypte ancienne. La place et au rôle de la figure animale dans la civilisation pharaonique. Musée du Louvre-Lens - décembre 2014-mars 2015
Grande Halle de la Villette - 2007
France Culture - 9 février 2010 - 49'
Texte grec du III siècle - Traduction française
France Culture (2 mars 2010). Version intégrale. Khartoum-Paris avec la Girafe, un documentaire de Olivier Chaumelle, réalisé par Doria Zénine. - Le pacha d’Égypte avait fait capturer deux girafes au Nord-Soudan. On leur fit descendre le Nil. À Alexandrie, on décida, pour ne pas faire de jaloux, d’en offrir une à chacune des deux principales puissances coloniales en Afrique : l’Angleterre et la France. La girafe française embarqua pour Marseille, où elle fut prise en charge par Étienne Geoffroy Saint-Hilaire, naturaliste savant du Jardin des Plantes, qui eut la mission de la ramener, au pas, dans ce sanctuaire parisien de la Science. Son voyage eut un retentissement considérable à l’époque : elle était attendue partout par des foules immenses. La girafe anglaise, quant à elle, hiverna à Malte, supporta mal le voyage par Gibraltar et l'océan, et mourut à Londres dans les bras du roi George. Quant à la girafe française, le délire collectif fut atteint à Lyon où cent mille badauds acclamèrent l’étrange vedette sur la place Bellecour. Charles X, à qui elle était personnellement offerte, se plaignit d’être pour ainsi dire le dernier des Français à la voir. C’était la première girafe à visiter l’Europe du Nord. Elle vécu tranquillement dix-sept années à Paris, mourut, fut naturalisée, et se fit oublier, pour ressurgir de temps à autres, sous forme de légendes souvent invraisemblables. Elle est maintenant au Muséum de La Rochelle, qui en est très fier. On sait qu’il y a eu une mode frénétique de la girafe, que quantité d’auberges se sont rebaptisées Hôtel de la Girafe, que les gazettes d’alors en étaient remplies. Il subsiste des vestiges, monuments discrets et imprimés enfouis, de son triomphe. Et son histoire, magistrale. - Avec Fabrice Bernard, responsable animalier au zoo de Vincennes
France Culture (2 mars 2010). Extraits (27'). Khartoum-Paris avec la Girafe, un documentaire de Olivier Chaumelle, réalisé par Doria Zénine. - Le pacha d’Égypte avait fait capturer deux girafes au Nord-Soudan. On leur fit descendre le Nil. À Alexandrie, on décida, pour ne pas faire de jaloux, d’en offrir une à chacune des deux principales puissances coloniales en Afrique : l’Angleterre et la France. La girafe française embarqua pour Marseille, où elle fut prise en charge par Étienne Geoffroy Saint-Hilaire, naturaliste savant du Jardin des Plantes, qui eut la mission de la ramener, au pas, dans ce sanctuaire parisien de la Science. Son voyage eut un retentissement considérable à l’époque : elle était attendue partout par des foules immenses. La girafe anglaise, quant à elle, hiverna à Malte, supporta mal le voyage par Gibraltar et l'océan, et mourut à Londres dans les bras du roi George. Quant à la girafe française, le délire collectif fut atteint à Lyon où cent mille badauds acclamèrent l’étrange vedette sur la place Bellecour. Charles X, à qui elle était personnellement offerte, se plaignit d’être pour ainsi dire le dernier des Français à la voir. C’était la première girafe à visiter l’Europe du Nord. Elle vécu tranquillement dix-sept années à Paris, mourut, fut naturalisée, et se fit oublier, pour ressurgir de temps à autres, sous forme de légendes souvent invraisemblables. Elle est maintenant au Muséum de La Rochelle, qui en est très fier. On sait qu’il y a eu une mode frénétique de la girafe, que quantité d’auberges se sont rebaptisées Hôtel de la Girafe, que les gazettes d’alors en étaient remplies. Il subsiste des vestiges, monuments discrets et imprimés enfouis, de son triomphe. Et son histoire, magistrale. - Avec Fabrice Bernard, responsable animalier au zoo de Vincennes
France Culture - 21 janvier 2010 - 48'
Dossier paru dans le "Temps" du 30 décembre 2014
Terrain, numero-10 - Des hommes et des bêtes (avril 1988), [En ligne], mis en ligne le 18 juillet 2007. URL : http://terrain.revues.org/2932. Consulté le 21 août 2012.
GHI - 9 août 2012
Le Monde, samedi 30 janvier 2021
Dossier Pour la science 86. Janvier-Mars 2015, 120 pp.
France Culture - 24 décembre 2009 - 15'
L'odyssée humaine. Les moteurs cachés de notre évolution, in Pour la science 445. Novembre 2014, pp. 24-99.
Sapiens. L'odyssée de l'humanité. Une espèce mosaïque. La culture moteur de l'évolution humaine. La plus invasive des espèces. Pour la science THEMA. Novembre 2020, 98 pp.