Le chanfrein à corne transforme, pour ainsi dire, le cheval réel en créature fabuleuse, dont la combativité devrait se transmettre au cheval et à son cavalier. Chanfrein de l’armure d’apparat d’Alessandro Farnese, vers 1575, Lucio Piccinino, Milan. Fer doré et argenté. © Kunsthistorisches Museum, Vienne, Collection des armes de chasse et de guerre.
animali - Landesmuseum Zh - 2013
Cadmos luttant contre le dragon, urne cinéraire étrusque, IIe siècle av. J.-C. Albâtre. © Kunsthistorisches Museum, Wien, Collection
Déjanire et le Centaure, 1690, Giovanni Antonio Burrini, Bologne. Huile sur toile. Castel Thun, Vigo di Ton, Trente. © Castello del Buonconsiglio, Trento
Ce griffon aux sabots de cheval et aux oreilles de chien est l’emblème de la corporation zum Greifen (au griffon) du Petit-Bâle. Depuis le Moyen Âge, la coupe est utilisée lors du repas annuel. Coupe à boire, vers 1606, Gesellschaft Sebastian I. Schilling, Bâle. Argent doré. Ehrengesellschaft zum Greifen, dépôt du Historisches Museum, Bâle.
Hippolyte, fils d’une amazone et d’un habile conducteur de char, est tué par ses propres chevaux. C’est la punition divine pour le viol supposé de sa belle-mère. Urne étrusque, début IIe siècle av. J.-C. Albâtre. © Museo Archeologico Nazionale, Florence.
« Magnifiques oiseaux du paradis ». Gobelin, 1450–1500, probablement Rhénanie supérieure. Laine. © Musée national suisse
Reliquaire, 1100–1200, Pfäfers. Cuivre doré et verre. © Musée national suisse
Sacoche, vers 1320, Valais. Broderie de soie sur lin. © Musée national suisse