VANNEAU 2014

V. VANNEAU, Le chien. Histoire d'un objet de compagnie, Paris, 2014, pp. 217.

Remarques

Prologue

Généalogie d’une chose animée

Après tout, ce n’est qu’un chien…

Cas de conscience et nouvelles sensibilités

L’objet de la discorde

L’ascension d’une personne animale

Post-scriptum à l’édition de 2020

Notes

Index nominum

Index canum

Meilleur ami de l'homme, machine à aimer, bébé de la famille dont on se dispute le droit de garde ou de visite…. Pourtant, dans le droit français, le chien n'a d'autre statut que celui d'une chose. Depuis le Code civil de 1804, le canis familiaris est un bien mobilier, au même titre qu'une table. Voici le récit de la place et du rôle donnés à cette boule de poils. Les philosophes de l'Antiquité ont ouvert la question de l'âme des animaux; ceux du XVIIe siècle tel Descartes ont rangé le chien du côté des machines; au XIXe, les juristes, en le classant comme une chose, ont ouvert une vaste querelle, dont l'enjeu est aujourd'hui la reconnaissance d'une «personne animale». Du chien de Montargis, Verbaux, qui a triomphé en combat singulier de l'assassin de son maître au XIVe siècle, à Laïka qui voyagea dans l'espace en 1957, la singulière histoire d'un objet de compagnie.

Textes

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Iconographie

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